Habitué de susciter la controverse, Elon Musk, propriétaire du réseau social X a encore fait parler de lui en invitant le candidat républicain à la présidentielle américaine, Donald Trump, dans le cadre d'une longue entrevue sur sa plateforme.
L'homme d'affaires, cofondateur de la société automobile Tesla, s'en est aussi pris au gouvernement britannique du premier ministre Keir Starmer après des émeutes liées à une attaque au couteau qui a coûté la vie à trois fillettes.
De fausses informations, qui ont circulé sur la plateforme X, ont notamment mené à des manifestations violentes de la part de l'extrême droite en Angleterre.
Écoutez la journaliste Marie Billon, basée à Londres, faire le point au Québec maintenant.
«Il y a eu vraiment une sorte de guerre de mots entre Elon Musk et le gouvernement britannique à travers un porte-parole puisque Elon Musk a estimé que le Royaume-Uni était l'équivalent de l'Union soviétique avec l'empêchement justement de dire ses propres opinions. Il a aussi accusé le gouvernement d'avoir une police à deux vitesses, c'est-à-dire de finalement mieux traiter les minorités que les personnes blanches de la classe ouvrière [...] Et c'est la première fois qu'un représentant gouvernemental s'attaque frontalement à un représentant des réseaux sociaux qui reste complètement dans l'impunité.»