Lors de sa chronique à l’émission Le Québec maintenant, jeudi, Katia Gagnon parle d’une situation qui l’a profondément ébranlée : le témoignage très éloquent de Nancy Audet, elle-même une ex-enfant de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ).
En commission parlementaire, elle a parlé d’infiltrations d’eau, de champignons, de tuiles tombant du plafond, de chaudières partout avec de l’eau qui coule… Elle parlait ici d’un centre de réadaptation pour jeunes dans l’est de Montréal, qui est supervisé par la Direction de la protection de la jeunesse. Environ 150 jeunes y étaient alors hébergés.
Ce témoignage est symptomatique de l’inaction de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse, selon Katia Gagnon.
Celle-ci rappelle que c'est le seul organisme qui peut s'opposer aux décisions de la DPJ.