Avec la crise qui a secoué le Parti libéral du Québec concernant le financement de la campagne à la chefferie de Pablo Rodriguez, les prochaines semaines s'annoncent déterminantes pour l'avenir de la formation.
Selon l'ancien ministre libéral Pierre Arcand, le parti devra miser sur ses forces, comme l'économie, s'il souhaite regagner l'estime des Québécois d'ici les prochaines élections.
Écoutez l'ancien ministre et ancien chef intérimaire du PLQ, Pierre Arcand, faire le point sur la situation au micro de Patrick Lagacé.
«Le Parti libéral a toujours été très fort sur le plan économique. Rappelons-nous de M. Bourassa, les 100 000 emplois, des projets hydroélectriques, qu'on se rappelle le fait qu'en 2008, lorsque M. Charest a fait des projets d'infrastructures, le Québec est l'endroit qui a probablement le mieux passé la crise de 2008. Qu'on se rappelle que M. Couillard, lorsqu'il a quitté, on avait fait milliards de surplus. Donc, sur le plan économique, le Parti libéral est perçu comme étant capable de bien gérer. Ça attire un paquet de monde.»