Les députés indépendants s'additionnent à l'Assemblée nationale du Québec, une situation qui fait le bonheur de la chroniqueuse Myriam Ségal.
Écoutez l'animatrice de l'émission Que Québec se lève en discuter samedi, au micro de Denis Lévesque.
«Je trouve qu'on traite les députés dans les partis comme des potiches. On va les chercher parce qu'ils sont bons et bien connectés. Ensuite, on leur dit : si tu veux la chance d'être ministre, ferme ta gueule! Quand ils deviennent indépendants, ils se mettent à pouvoir dire des vérités. Le reproche que je nous ferais comme caste journalistique, c'est qu'il faut les écouter parce qu'ils sont libres de parler.»