Le mythe veut que l'amour absolu mène à la vie commune. Pourtant, de plus en plus de couples, y compris chez les 20-34 ans, choisissent de vivre séparément même s'ils sont profondément amoureux.
Est-ce un simple choix de confort ou un frein à l'engagement?
Pourquoi ce modèle, bien qu'encore en marge, séduit tant de couples?
Écoutez Sylvie Lavallée, sexologue et psychothérapeute, explorer ce phénomène social en pleine croissance, au micro de Marie-Eve Tremblay.
«On pense que la cohabitation c'est facilitateur, mais ça peut être éteignoir. On peut se rendre compte qu'il y a des incompatibilités. On peut se rendre compte qu'on étouffe, qu'on subit la présence de l'autre, qu'on n'a plus de temps tout seul. On peut se rendre compte qu'on a plus de chicanes.»