Dix-sept ans après le meurtre de Catherine Daviau, on a enfin pu identifier celui qui lui a enlevé la vie.
Le meurtre de la jeune femme de 26 ans a été élucidé, grâce à l’ADN du meurtrier.
L'ADN qui avait été prélevé sur la scène après le crime a finalement pu être récemment comparé à des bases de données de généalogie génétique qui ont permis d’identifier le criminel.
La jeune femme de 26 ans avait été assassinée dans son logement de l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie, en décembre 2008 et on sait maintenant que son meurtrier était Jacques Bolduc, un multirécidiviste qui est mort en 2021 à l’établissement Archambault, où il purgeait une peine pour deux vols qualifiés et des tentatives de meurtre.
Écoutez la cheffe de la Section des crimes majeurs du SPVM, Mélanie Dupont et la directrice générale du département de la biologie/ADN du Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale, Diane Séguin, aborder le tout, jeudi matin à l'émission de Patrick Lagacé.
«On part d'une personne qui a mis son ADN dans une banque récréative. Elle n'est pas nécessairement contactée. C'est à partir de son arbre généalogique et des autres arbres qu'on va identifier ou cibler une personne.»