Tel que le rapportait le Journal de Montréal, vendredi matin, la famille d’un jeune autiste sévère a dû «faire du camping» pendant quatre jours dans une chambre d’hôpital qu’elle refusait de quitter afin d’obtenir des soins adéquats pour leur enfant.
Leur fils s’appelle Sid, il est âgé de 11 ans, est non verbal et a une déficience intellectuelle.
Depuis les derniers mois, ses crises s’intensifient et deviennent extrêmement difficiles à gérer pour ses parents, en raison de la violence incontrôlable qui s'en dégage.
Alors que les parents souhaitent qu’il soit admis dans un centre de réadaptation comportementale, personne ne répond pas à leur demande.
Quelles sont les avenues pour les parents au bout du rouleau?
Écoutez la directrice générale de la Fédération québécoise de l’Autisme, Lili Plourde, aborder la question, vendredi à l'émission d'Élisabeth Crête.
Elle traite ainsi de l'augmentation des cas similaires et de l'importance de la prévention et des services de soutien à domicile pour éviter de telles situations extrêmes.