Consommer des aliments ultra-transformés pourrait contribuer aux risques de dépression, surtout chez les adultes de 18 à 35 ans, rapporte une récente étude internationale.
Les résultats ont été publiés dans le journal scientifique «Nutrients».
15 000 individus ont été interrogés à travers le monde.
Écoutez le Dr Sulvain Iceta, médecin psychiatre responsable du volet québécois de l’étude internationale ALIMENTAL, au micro de Patrick Lagacé.
«On a mesuré chez les répondants leur niveau de symptômes dépressifs présents, avec une échelle validée. Puis, on les a interrogés sur ce qu'ils mangeaient. On a pris 43 items de l'alimentation courante et on s'est questionné à savoir s'ils les mangeaient occasionnellement moins d'une ou deux fois par semaine, voire plusieurs fois par jour….»
Bien entendu, la malbouffe fait partie de la grande famille des aliments ultra-transformés.