Le républicain Donald Trump et le candidat indépendant Robert Kennedy Jr. ont tous les deux tenté de séduire les électeurs dits libertariens.
À l'occasion d'un rassemblement politique, des libertariens ont hué l'ancien président des États-Unis. Pour mousser sa candidature auprès de cet électorat, Donald Trump a mis de l'avant les «bons coups» lors de son passage à la Maison-Blanche, notamment le fait qu'il n'y a pas eu de guerre durant son administration.
Écoutez le compte-rendu de Valérie Beaudoin au micro de Patrick Lagacé lundi, sur le sujet.
«Les libertariens reprochent à Donald Trump tout ce qui touche à la COVID-19, d'avoir mis des restrictions. Parce que oui, on l'associe un peu à l'opposé de Biden par rapport à toutes les restrictions, mais c'est quand même lui qui a développé le vaccin, qui a mis en place des restrictions au niveau du pays, au niveau par exemple des voyages. Donc, il y a quand même eu, oui, des restrictions qui ont été imposées par le Parti républicain à l'époque, lorsqu'il était président, parce que c'est lui qui était là au début de la crise de la pandémie. Alors, ça fait partie des choses qu'on lui reproche. Au niveau économique également, on dit qu'il a tellement dépensé que le déficit est encore plus grand.»