Le joyau de la Capitale-Nationale est-il à l'abandon? C'est la question qui est sur toutes les lèvres depuis que la Régie du bâtiment a révélé de graves problèmes de sécurité au Mont-Sainte-Anne, notamment sur le téléphérique, compromettant l'ouverture de la saison de ski.
Pascal Paradis, député péquiste de Jean-Talon et porte-parole pour la Capitale-Nationale, dénonce avec force la gestion de l'exploitant, l'entreprise albertaine Resorts of the Canadian Rockies (RCR), et réclame l'expropriation pure et simple.
Selon lui, RCR ne respecte pas ses obligations et met la sécurité du public à risque.
Écoutez Pascal Paradis, député péquiste de Jean-Talon et porte-parole du Parti québécois pour la Capitale-Nationale, commenter cette crise.
«Ça suffit. Il faut se tenir debout. Le Mont-Sainte-Anne, il appartient toujours aux Québécois [ ...] C'est un gestionnaire qui est tellement mauvais, en fait, qu'il met maintenant la sécurité du public à risque.»