Avez-vous déjà fait l'achat d'un «citron»?
Le propriétaire d'un tel véhicule peut se tourner vers le Programme national d'arbitrage pour les véhicules automobiles (Pavac) pour obtenir gain de cause.
Les rappels pour ces problèmes sont cependant effectués gratuitement.
Benoit Charette explique que la complexité croissante des technologies embarquées, plus que la mécanique, cause la majorité des problèmes, et que les rappels sont désormais mieux gérés par les constructeurs.
Il précise qu'un véhicule est considéré comme étant un «citron» après trois tentatives infructueuses pour le même problème, ou s'il est immobilisé plus de 30 jours pour des réparations.
Écoutez Benoit Charette, chroniqueur automobile et auteur de l’Annuel de l’automobile 2026, expliquer le tout, mardi, au micro de Philippe Cantin.
«Un citron, selon la loi anti-citron, c'est un véhicule qui a eu trois tentatives ou plus de réparations infructueuses pour un même problème [...] ou qui a eu 12 tentatives de réparation de problèmes différents.»