À l'instar de la ministre québécoise de l'Énergie, Christine Fréchette, le ministre fédéral de l'Innovation, des Sciences et de l'Industrie «demeure confiant» quant à l'avenir de Northvolt en sol québécois.
Il souligne l'importance stratégique de la future usine de batteries de la Rive-Sud pour accéder au marché de l'Amérique du Nord.
Écoutez le ministre fédéral de l'Industrie, François-Philippe Champagne, faire le point au micro de Patrick Lagacé, mercredi.
«Pour que Northvolt ait du succès, ils doivent percer le marché nord-américain. L'usine du Québec, elle est plus stratégique que celle européenne. Vous pouvez parler aux manufacturiers, à Ford, à Stellantis, à GM, parce que le marché où ils font de l'argent, c'est le marché nord-américain. [...] Northvolt n'a pas le choix parce que le marché le plus lucratif au monde de l'automobile, c'est le marché nord-américain. Alors pour l'heure, pour la profitabilité de l'entreprise, ils ont besoin d'être ici.»