La superministre Christine Fréchette continue de soutenir Northvolt et de faire preuve d'optimisme à la suite de sa rencontre avec le PDG nord-américain de l'entreprise suédoise, Paolo Cerutti.
La ministre de l'Énergie dit que la jeune pousse maintient ses projets de méga-usine sur la Rive-Sud de Montréal, et ce, malgré les récentes mises à pied - une supression de 1600 emplois - survenues en Suède.
«C'est sûr qu'en Suède, les changements sont importants. Il n'en demeure pas moins qu'il y a 5400 personnes qui continuent de travailler chez Northvolt. On sait que c'est une entreprise qui est récente. C'est souvent le propre des jeunes entreprises de vivre des hauts et des bas. Puis le secteur, en lui-même, aussi est récent. Les batteries pour véhicules électriques, c'est un secteur qu'on est en train d'ouvrir, donc c'est sûr que c'est appelé à connaître des hauts et des bas. Il y a des vents contraires en ce moment, mais je pense que ce n'est pas le moment de tourner le dos à Northvolt. Et je pense qu'ils ont adopté déjà un certain nombre de mesures pour faire face à la musique.»
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