Microgestion, exigences excessives et contrôle: des inhalothérapeutes déplorent devoir travailler dans un climat de travail pourri à l’hôpital Fleury et à Jean-Talon, rapporte La Presse vendredi matin.
Écoutez la présidente du Syndicat des professionnelles en soins du nord de Montréal, Isabelle Roy, à Lagacé le matin, vendredi.
La gestionnaire à l'origine de ce climat aurait même reçu une promotion malgré les plaintes, exacerbant le mécontentement parmi le personnel.
«La situation est très difficile. À la suite de dénonciations, on a fait une grande consultation auprès de nos membres et ils sont unanimes. Ils vivent dans un climat de terreur, de méfiance. [...] Il y a un contrôle excessif, [...] une surveillance constante et un climat toxique.»