Luc Ferrandez critique un juge pour avoir annulé une preuve cruciale, un pistolet Glock, trouvé lors d'une perquisition l'an dernier dans une résidence, en raison de motifs insuffisants présentés par la police...
En effet, un juge de la Cour du Québec vient d’exclure la preuve principale dans le dossier d’un possible membre de gang de rue, Karm Al Rehman Oubaid, alias DTM, accusé de possession d’arme à feu.
C'est ce qu'on apprend dans un article de La Presse, signé par Mayssa Ferah.
Le chroniqueur du 98.5 se demande si la réalité des faits, comme la présence avérée de l'arme, doit influencer les décisions judiciaires malgré des procédures initiales imparfaites.
«Cette décision pourrait remettre en liberté un gars dangereux dans la population, parce que la procédure de la documentation de la preuve n'a pas été suffisante. [...] Le juge estime que la police n’a pas bien fait son travail. Donc, le juge protège la loi, mais met le public en danger.»
Cette affaire soulève des questions quant à l'équilibre entre la protection de la loi et la sécurité publique.