Selon le nouveau régime forestier, des zones forestières, représentant le tiers du territoire québécois, vont être accordées à des exploitants à vie dans le but de maximiser la productivité de l'industrie forestière.
Le nouveau régime est toutefois extrêmement critiqué par certains acteurs du milieu...
«La loi dit que le gouvernement ne pourrait plus créer d'aires protégées. Même si on découvre par exemple un espace d'une biodiversité remarquable, on ne pourrait pas le protéger.»