Près de 350 causes criminelles ont été abandonnées en justice faute de ressources, en un an.
C'est ce qu'on apprend dans le Journal de Montréal.
Écoutez Luc Ferrandez qui discute de la problématique, soulignant une entente historique de 80 millions de dollars entre le ministre de la Justice, la Chambre des notaires du Québec et le Barreau du Québec pour alléger les procédures judiciaires.
Le chroniqueur mentionne l'augmentation de l'aide juridique et l'initiative de prisons pour résoudre le manque de places, tout en remettant en question l'efficacité de ces mesures pour régler les problèmes de longs délais judiciaires et de ressources insuffisantes.
«C'est une justice qui, de plus en plus, nous échappe. [...] Je pense que [les ressources en justice] c'est un autre des dossiers pour lesquels l'État faillit à sa mission.»