Dans le cadre de son coup de gueule, mardi, Luc Ferrandez analyse les motivations de Donald Trump - et sa fixation sur le fentanyl - concernant l'imposition de tarifs douaniers.
Il souligne l'irrationalité perçue de Trump dans sa gestion des politiques économiques et commerciales et critique son approche imprévisible et potentiellement dommageable pour l'économie mondiale.
«C'est Wall Street qui l'a ramené à l'ordre [...] Je ne pense pas que c'est la pression du Canada, pas pantoute. C'est la bourse qui, lundi dans les premières heures, s'en allait vers un krach boursier. C'est ça qui l'a fait réfléchir...»