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Beaucoup de malaise entourant le pourboire

Beaucoup de malaise entourant le pourboire
Les réseaux sociaux dans l'oeil de Frédéric Labelle / Cogeco Média

Donner du pourboire au coiffeur, à son assistant, à celui qui nous lave les cheveux... la liste est devenue un peu longue, pas vrai? 

Pour Camille Landry, propriétaire d'un salon de coiffure à Blainville, les pourboires rendaient les clients trop mal à l'aise. C'est pour cette raison qu'elle a cessé d'en demander à ses clients

D'autres commerces oeuvrant dans le service à la clientèle vont-ils imiter la décision de Camille Landry?


Écoutez à ce sujet Frédéric Labelle à Lagacé le matin, mercredi.


«C'est rentable à 100% dans le sens où j'ai établi des prix par rapport aux services que j'offre, par rapport à mon marché et par rapport à la demande que j'ai.»

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