Donner du pourboire au coiffeur, à son assistant, à celui qui nous lave les cheveux... la liste est devenue un peu longue, pas vrai?
Pour Camille Landry, propriétaire d'un salon de coiffure à Blainville, les pourboires rendaient les clients trop mal à l'aise. C'est pour cette raison qu'elle a cessé d'en demander à ses clients.
D'autres commerces oeuvrant dans le service à la clientèle vont-ils imiter la décision de Camille Landry?
Écoutez à ce sujet Frédéric Labelle à Lagacé le matin, mercredi.
«C'est rentable à 100% dans le sens où j'ai établi des prix par rapport aux services que j'offre, par rapport à mon marché et par rapport à la demande que j'ai.»