Une mère du quartier Hochelaga-Maisonneuve à Montréal dénonce la présence d'un crack house, où des revendeurs, des consommateurs de drogues et des prostitués affluent, près de l'école fréquentée par ses deux jeunes filles.
Après plusieurs plaintes faites auprès de la police, dans l’espoir de retrouver sa quiétude, la situation perdure.
Écoutez la mère, Audrée* - c'est un prénom fictif - aborder cette situation au micro de Patrick Lagacé, mardi.
«On a même parlé avec des policiers sur place qui venaient de faire une saisie de crack avec plusieurs centaines de dollars de roche dans leurs mains. Ils nous disent: "Écoutez, on fait des interventions, mais on est en sous-effectif. Dans les faits, ce n’est pas à nous, on a les mains liées, c’est au tribunal administratif du logement de mettre fin à la situation." Comment ça?»