Est-ce qu'il est possible de densifier intelligemment les petites villes québécoises et est-ce qu'il y a un appétit pour habiter en ville dans les régions du Québec?
Écoutez l'urbaniste et professeur au département d’études urbaines et touristiques à l'UQAM, Michel Rochefort, aborder avec Luc Ferrandez les questions de la taille des villes suffisantes pour offrir des services de proximité valable, la densité suffisante pour avoir des déplacements en transports actifs, de même que l'amélioration de l'offre commerciale dans les centres-villes à l'occasion de la Journée mondiale des villes.
«Je pense qu'on a une dichotomie, une différence dans notre rapport à la ville, au Québec, qui est particulier, où à la fois quand on va à l'étranger, quand on voyage, on admire ces villes, on les trouve comme des exemples, Mais quand c'est notre choix d'habiter à un endroit, quand c'est le temps de choisir où on va habiter, c'est comme si la ville perdait un peu tous ses avantages, comme si la campagne était la plus le plus bel endroit pour élever nos enfants ou vivre proche de la nature.»