Les banques alimentaires sont présentement contraintes d'effectuer un virage numérique, révélait vendredi un article de La Presse.
Plusieurs organismes estiment toutefois que cette tâche vient alourdir leur charge de travail déjà élevée, alors que de nombreuses personnes ont recours à leurs services.
Écoutez Martin Munger, directeur général des Banques alimentaires du Québec, expliquer pourquoi il estime que cette transition était tout de même nécessaire, dimanche, au micro de Denis Lévesque.
«Il faut qu'on ait les données pour partager les denrées équitablement. Et c'est pour ça qu'on a décidé d'aller dans cette direction-là. Il y en a qui disent que les gens vont devoir remplir un questionnaire et tout ça. Mais ce sont déjà des données que les organismes utilisent avec leur clientèle qu'on demande de consigner dans cette plateforme. Ça va nous aider à les aider davantage. On n'est pas là pour nuire.»