La loi 2 du gouvernement du Québec, adoptée sous bâillon, suscite une forte opposition parmi les médecins et les étudiants de la Fédération médicale étudiante du Québec (FMEQ).
Écoutez Maxence Pelletier-Lebrun, président de la FMEQ, s'exprimer sur le sujet, samedi, au micro de Denis Lévesque.
«Ce qui nous inquiète, ce sont les clauses qui limitent comme on n'a jamais vu la liberté d'expression des étudiants, la liberté d'association. On a parlé avec plusieurs avocats qui nous disaient que même de parler en assemblée générale, ou sur les réseaux sociaux, ça pourrait être affecté par la loi, ainsi que des décisions démocratiques, par exemple, un vote de grève. On pourrait avoir des amendes en tant qu'association allant jusqu'à 500 000 $ par jour.»