Karine Saint-Denis, une victime de Marc-André Grenon, récemment arrêté pour le meurtre de Guylain Potvin, a dénoncé les délais de l’enquête et la libération de Grenon peu avant le meurtre de Guylaine Potvin.
«Elle déplore [premièrement] que trois jours avant le meurtre de Guylaine Potvin à Québec, Grenon avait été libéré à la suite d'une affaire d'introduction avec effraction et qu'il n'y avait aucune condition qui l'obligeait à dévoiler son ou ses futures adresses.»
«Si on traitait chacun de nos dossiers comme si c'était notre propre fille ou notre proche à qui ça arriverait? Je peux vous dire qu'il y a beaucoup de dossiers qui se régleraient un peu différemment souvent.»