Un métier un peu méconnu que celui de cheerleader pour les Alouettes de Montréal.
Écoutez Rani-Gabrielle Dubé Paré, l'une des 24 cheerleaders de l'équipe, se confier sur son métier à la chroniqueuse Marie-Eve Tremblay.
Saviez-vous que les cheerleaders doivent se soumettre, avant le début de chaque saison, à un processus de sélection? Qu'elles sont seulement et uniquement payées lors des matchs?
«C'est un investissement de temps et de sa personne, mais tout le monde en est conscient dans l'équipe. On le fait pour l'amour du sport, pour l'amour de la danse et pour l'amour de la performance. C'est une chance incroyable de pouvoir, au moins 10 fois par année, performer devant un minimum de 15 000 partisans.»
L'athlète, qui en est à sa sixième année avec les Alouettes, a révélé ce qu'elle trouvait le plus difficile dans son travail qui a généralement lieu au stade Percival-Molson.
«Les matchs sous la pluie, a lancé celle qui oeuvre dans le domaine des ressources humaines. Nous, on danse, pluie pas pluie, neige pas neige, selon les intempéries. Sauf s'il y a des éclairs, [...] mais la pluie, c'est un petit challenge de plus, un petit peu plus difficile à vivre, mais on passe au travers.»