Il y a quelques jours, Paul Landis ― âgé de 88 ans ― est sorti d'un silence de 60 ans pour faire des révélations sur l'assassinat du président John F. Kennedy, qui est survenu à Dallas, le 22 novembre 1963.
À cette époque, Landis faisait partie des services de sécurité qui accompagnaient le cortège présidentiel. Ce jour-là, Landis assure avoir entendu des détonations venant de deux directions différentes. Or, à en croire la commission Warren, l'enquête fédérale chargée de faire la lumière sur l'attentat, le président a été abattu par un tireur solitaire situé derrière lui.
Landis prétend avoir trouvé dans le dossier de la banquette arrière ― là où prenait place le président ― une balle, preuve d'un tir venant de l'avant de la limousine. Cette balle, aux dires de Landis, serait le «smoking gun» à l'appui d'un complot ourdi pour assassiner J.F.K.
Écoutez l’intégralité de la chronique de Christian Page, à l’émission de Luc Ferrandez.