Le gouvernement du Québec veut combattre l'obsolescence programmée, c'est-à-dire, la manière de fabriquer certains produits pour qu'ils aient une durée de vue plus courte qu'ils ne le devraient.
Une loi, modifiant celle sur la protection du consommateur, a donc été déposée.
Simon Jolin-Barrette, le ministre de la Justice, discute avec Luc Ferrandez des moyens par lesquels le gouvernement souhaite s'y prendre pour freiner l'obsolescence programmée.
«On vient établir clairement le principe dans notre loi, qui est de compétence québécoise, et on se donne des outils, notamment des sanctions administratives et des sanctions pénales.»
Le ministre discute de ces méthodes qui placeront selon lui le fardeau de la réparation sur les épaules du commerçant et du fabricant.
Écoutez la discussion et les doutes de Luc Ferrandez quant'à l'applicabilité d'une telle loi dans la réalité...