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Inapte à travailler

Fin des prestations de l'IVAC: «C'est vraiment beaucoup d'angoisse»

Fin des prestations de l'IVAC: «C'est vraiment beaucoup d'angoisse»
La fin des prestations de l'IVAC cause des maux de tête à plusieurs victimes. / Artit / Adobe Stock

Trois ans après avoir survécu à une tentative de féminicide, Sabrina Bélair-Dubois, a récemment été contactée par des représentants du régime d'indemnisation des victimes d'actes criminels (IVAC) qui l'ont informée de la fin de ses prestations.

Même si elle a été évaluée par un médecin, qui a confirmé qu'elle n'était pas apte à retourner au travail, l'IVAC n'a plus l'intention de la soutenir financièrement.


Écoutez la survivante en discuter en compagnie de Patrick Lagacé et Bénédicte Lebel mercredi.

«J'ai deux enfants. Je suis en appartement, j'ai une voiture. Comment je vais faire pour nourrir les enfants? Le temps des Fêtes arrive. Par chance, j'ai une grande famille élargie qui m'a donné des coups de main pour la nourriture, les cadeaux de Noël. Mais ça reste qu'ils ne peuvent pas payer les comptes pendant un an non plus. Ça fait que oui, c'est vraiment beaucoup d'angoisse.»

Sabrina Bélair-Dubois

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