Même si la décision est déjà prise et que la Ville de Longueuil ira de l’avant avec l’abattage des cerfs du parc Michel-Chartrand, certains citoyens espèrent toujours faire changer d’idée l’administration. La situation est telle qu’ils réclament du soutien psychologique.
Écoutez Geneviève Pettersen, avec Luc Ferrandez, alors qu'elle aborde la saga des cerfs de Longueuil.
Certains citoyens avancent qu’ils auront besoin d'aide psychologique suite à cet abattage.
«Sans vouloir minimiser le désarroi de ces gens-là, parce que probablement qu'ils vivent de vraies émotions, mais en même temps, un instant. Je veux dire qu'on se déchire la chemise comme ça pour des cerfs. C'est vraiment une espèce de phénomène de compassion à deux vitesses», dit la chroniqueuse.
«Il y a même quelqu'un au Conseil de ville qui a fait des parallèles entre ce qui allait se passer avec les cerfs de Longueuil et ce qui se passe avec le Hamas, avec les attaques contre Israël. Je te jure, c'est épouvantable. Incroyable!»