Écoutez Geneviève Pettersen parler avec Luc Ferrandez du défilé de la Coupe Grey.
Elle avoue que d’emblée, elle ne s’était pas intéressée à la finale, alors qu’elle croyait, comme plusieurs, que les oiseaux allaient perdre la partie.
«Les Alouettes, moi, ça me laissait pas mal indifférente. Mais là, tout ce qui se passe avec le club fait en sorte que je commence à m'intéresser sérieusement.»
«Il y a un phénomène et ça se passe aussi quand on est en playoffs. Au hockey, des gens qui s'ajoutent, qui ne regardent pas nécessairement les saisons régulières. Puis là, tout à coup, tu te fais pogner parce qu'il y a quelque chose. La fièvre, c'est un très bon mot. Au centre-ville de Montréal, les gens ont des chandails des Alouettes. Les gens crient, les gens sont contents, les gens se parlent, les gens échangent des regards. Les gens sont heureux.»