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«Moi, c’est une histoire qui m’a choqué» -Nathalie Normandeau

«Moi, c’est une histoire qui m’a choqué» -Nathalie Normandeau
Nathalie Normandeau / Cogeco Média

Une absolution conditionnelle pour avoir défendu ses deux enfants victimes d'intimidation, est-ce une peine trop sévère? 

C'est la question posée aux auditeurs de L'effet Normandeau lundi. 


«Je voulais simplement dire que je suis à 100 % d’accord avec ce monsieur et je suis à 100 % d’accord avec lui, car moi je pense que c’est un papa de la vieille école et au Québec, il n’y en a pas assez. Ça, c’est le premier point. Le deuxième, c’est que je vois de plus en plus, j’entends même de mes propres enfants ces choses qui arrivent à l’école, c'est que le harcèlement entre les jeunes gens, les professeurs ne sont pas capables de l’arrêter...» souligne le premier auditeur. 

Écoutez la tribune téléphonique de Nathalie Normandeau sur un cas d'intimidation où un père a plaidé coupable pour avoir défendu ses fils.

«Il faut savoir que le papa a pris la défense de deux de ses enfants parce qu’il y a deux fils qui étaient intimidés, tenez-vous bien, depuis trois ans. Et je me souviens, lorsqu’on a parlé ensemble de cette histoire-là, vous avez été nombreux à réagir en disant Nathalie, c’est un GoFundMe. Moi je veux l’aider, ça n’a pas de bon sens. Le père s’est porté à la défense de ses garçons. Moi, j’aurais fait la même chose. Savez-vous ce qui me dérange dans cette histoire-là aujourd’hui? L'homme et sa conjointe n’ont accordé aucune entrevue devant la caméra. Il y a TVA qui s’est pointée à la résidence familiale et la conjointe du monsieur s’est exprimée, mais sans être devant la caméra. Et ce que je trouve triste, c’est qu’ils se comportent comme s’ils étaient des criminels alors que pour moi, ils sont des victimes. Je vous entends déjà dire Nathalie, on ne peut pas se faire justice soi-même. Je suis tout à fait d’accord avec vous, mais en même temps, ils ont fait ce que beaucoup d’entre nous, nous aurions fait. Le père s’est porté à la défense de ses deux enfants intimidés. Là, le mot, le mot est faible. Il y a un des deux garçons qui recevait quasi quotidiennement des coups de poing en plein visage. Moi, c’est une histoire qui m’a choqué. Qui vous a choqué! Je le sais, mais je ne sais pas comment vous voyez ça de votre point de vue, mais moi je trouve ça immensément triste.»

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