Une sortie de crise semble se dessiner à court terme dans le cadre des projets de construction de maisons d’hébergement pour femmes et enfants victimes de violence conjugale.
Écoutez la coordonnatrice générale de l’Alliance des maisons d’hébergement de 2e étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale, Maud Pontel, aborder les solutions avec Louis Lacroix, elle qui représente 38 maisons membres dans 15 régions du Québec, qui hébergent plus de 500 femmes et enfants par année.
«Il y a des propositions qui ont été faites [...] on s'est assis, puis on a trouvé des solutions sont acceptable et qui continuent à répondre aux besoins des maisons d'hébergement. Donc, ça pourrait être, par exemple, l'ajout de studios pour permettre d'accueillir peut-être une femme supplémentaire, ça coûterait moins cher. En fait, je vous dirais oui, ça permettrait de faire baisser le prix du projet global.»