Le Montréalais Mohamed Amine Assal a reconnu mardi que la Gendarmerie royale du Canada (GRC) avait des motifs raisonnables de croire qu’il allait commettre une infraction liée au terrorisme.
Écoutez le journaliste Fabrice de Pierrebourg, raconter à l'animateur Louis Lacroix cette situation particulière.
Au mois de mars dernier, il avait été arrêté un étudiant en aéronautique à Saint-Hubert. Il avait été arrêté par la GRC et on lui avait tout de suite imposé ce qu'on appelle un 810, une ordonnance de garder la paix parce qu'on avait des motifs de craindre effectivement qu'il se livre à des activités terroristes.
Cette arrestation était survenue après une information que la GRC avait reçue du FBI.
«Sur les réseaux sociaux, il avait fondé un petit groupe sur la plateforme Telegram avec d'autres élèves de ce collège. Paraît-il qu'il avait tenté de radicaliser son jeune frère qui n'a que neuf ans ?»
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