À l'instar de ce qu'on a déjà constaté au Québec l'an dernier, un autre procès secret a eu lieu, cette fois dans une cour ontarienne. Dans ce cas précis, les noms du juge, des avocats et de l’accusé ont été cachés au public et aux médias.
La pratique du procès caché est évidemment critiquée par l’Association canadienne des avocats des médias.
À l'émission de Louis Lacroix, écoutez Patrick Bourbeau, président de l’Association canadienne des avocats des médias et vice-président, Affaires juridiques de La Presse.
M. Bourbeau explique qu'un troisième procès similaire s'est également déroulé en Colombie-Britannique l'année dernière.
«La théorie en arrière de ça, c'est qu'on veut protéger l'identité d'un informateur de police.»