Samedi marquera la journée mondiale contre le cancer et au Québec, bien que le système de santé soit fort performant pour traiter les gens qui en souffrent, on ne peut en dire autant en matière de détection et de diagnostic.
Lorsqu’on ajoute à cela les nombreux délais de chirurgie et le temps d’attente qui s’est allongé en raison de la pandémie, le cocktail pour de nombreux utilisateurs à lorgner du côté du privé.
Écoutez le survivant d’un cancer du côlon, Yves Dubé et le gestionnaire à la défense de l’intérêt public à la Société canadienne du cancer, David Raynaud, aborder le tout avec Patrick Lagacé.