Une intervenante de la DPJ a été agressée par une mère en colère, lundi, au palais de justice de Sherbrooke.
M. Stéphanie Côté, avocate en droit de la jeunesse depuis 22 ans, témoigne de l'augmentation de la complexité et de la violence dans les cas traités par la DPJ, ainsi que des difficultés liées au manque de personnel et aux délais d'intervention.
«Les dossiers sont beaucoup plus lourds [...] Les intervenantes et intervenants sont beaucoup plus jeunes parce que je pense qu'on a de la difficulté à pouvoir les garder. Ça fait en sorte que les dossiers sont plus longs aussi au tribunal. Maintenant, on en a souvent des dossiers qui durent une, deux ou trois journées.»
Elle souligne également le problème de la relève chez les jeunes avocats en droit de la jeunesse.