La propreté, ou plutôt le manque de propreté dans les rues de la Ville de Montréal a fait les manchettes à plusieurs reprises dernièrement. Quels sont les enjeux derrière le grand ménage du printemps que connaissent les rues de la métropole?
Écoutez Alia Hassan-Cournol, conseillère désignée pour Ville-Marie et conseillère d’arrondissement dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve au micro de Paul Arcand sur le sujet.
«Au centre-ville, il y a beaucoup de monde qui se déplace l'été, on le sait, c'est encore plus actif. Il y a les festivals notamment, donc on a des enjeux, on ne va pas se le cacher, parfois de comportements: des gens qui ne peuvent juste pas attendre le petit deux minutes supplémentaires pour mettre leur papier mouchoir dans la poubelle du bureau ou à la maison. Ça fait une différence énorme sur le travail des équipes. Donc ce sont des choses comme ça. Aussi, à cause de la crise des vulnérabilités, il y a des endroits dans Ville-Marie, dans le centre-ville où c'est plus sale parce qu'il y a des populations plus vulnérables, en itinérance notamment.»