À l’occasion de sa chronique économique à l’émission de Paul Arcand, vendredi, Pierre-Yves McSween aborde la «rationalisation volontaire» de la rémunération des hauts dirigeants canadiens.
La rémunération des présidents et chefs de la direction des banques canadienne, par exemple, est devenue l’objet d’un jeu des comparaisons… Mais, les chiffres sont tout de même déconcertants pour le travailleur moyen, de souligner le chroniqueur.
«Comment les conseils de direction arrivent-ils à de tels chiffres [pour les salaires octroyés] ? Il y aurait une méthode rationnelle de rémunération. […] En somme, il n’y a qu’une vérité, aucun actionnaire ne gagne autant que ces dirigeants d'entreprise. Mais, l'actionnaire ne conteste pas une telle rémunération. D’un point de vue humain, c’est quand même incroyable! […] Un salarié qui devient multimillionnaire après quelques années de travail pour une compagnie, c’est toujours impressionnant.»
Autre sujet traité :
- La finance au féminin est-elle une invention marketing ou le reflet d’un besoin d’une approche différente? Les finances au féminin, les finances roses, les finances et elle, les femmes et l’argent, l’entrepreneuriat au féminin… Toutes les expressions sont utilisées. La question : les finances personnelles doivent-elles être genrées?