Après un an de pouvoir lors de son second mandat, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, a répondu aux questions de Luc Ferrandez.
Elle a, d’entrée de jeu, parlé des 365 derniers jours qui furent assez chargés.
«C’était une année mouvementée. Nécessairement, je pense à l’augmentation de la violence armée. Ce fut éprouvant pour la population. Il fallait poser des gestes forts qui ont été faits, mais c’est un travail en continu. Sinon, un sujet duquel j’essaie de parler le plus possible est la fiscalité. Ce n’est pas le sujet le plus "sexy", mais il a un impact sur le portefeuille des citoyennes et des citoyens.»
Lors de cet entretien, il fut question de l’habitation.
«Il y a certains milieux humides et des golfes qui ont une valeur écologique importante qu’on veut protéger du développement. [...] Il faut agir à l’échelle de la planète. Il faut agir à l’agir du Québec au grand complet. Il n’y a pas de temps à perdre.»
Valérie Plante s’est aussi exprimée à propos du processus de recrutement pour le poste de chef du Service de police de la Ville de Montréal. Elle mentionne que l’embauche sera basée sur les compétences et non uniquement le genre.
On écoute la mairesse de Montréal…