Le manque de propreté dans les rues de Montréal a fait les manchettes à maintes reprises. Alors que plusieurs citoyens ont blâmé l'administration de Valérie Plante pour le retard dans l'opération du grand ménage du printemps, le chroniqueur Frédéric Labelle juge que nous avons une responsabilité collective dans la malpropreté qui jonche les rues de la métropole. Ainsi, certains objets ne devraient tout simplement pas se retrouver sur la rue Bleury, par exemple, comme le souligne Frédéric Labelle.
Écoutez la chronique de Frédéric Labelle au micro de Paul Arcand mercredi, à Puisqu'il faut se lever.
«Les gens sont des vrais cochons par moment, c'est épouvantable.»