Pierre-Yves McSween a fait un bain de foule en fin de semaine à l'Expo Habitat Mauricie.
À l'occasion de sa chronique, il présente lundi quelques-unes des questions qui lui ont été posées par les auditeurs de l'émission Puisqu'il faut se lever.
- Pouvons-nous déduire les médicaments comme l'Ozempic pour la perte de poids si les assurances ne payent pas ?
- Une psychologue voulait savoir dans quel cas est-ce possible de déduire les vêtements portés au travail?
- Plusieurs questions sur le CELIAPP.
- Un retraité voulait savoir comment payer moins d'impôt?
- Un entrepreneur se demande comment calculer plus efficacement son kilométrage.
Écoutez Pierre-Yves McSween aborder ces questions, et plus encore, au micro de Paul Arcand.
«Moi je pense qu'un psychologue peut aller à ces dates Tinder avec le même habillement qu'il a au travail et donc ça peut servir ailleurs, on s'entend. Il y a juste les avocats, les avocats qui peuvent par exemple mettre la toge ou des choses comme ça, ou bien quelqu'un qui est un travailleur autonome, qui a un vêtement de travail spécifique, comme des bottes de construction. Là, il y a un avantage. Mais sachez comme employé, si votre employeur vous fournit des vêtements, ce n’est pas imposable quand c'est lié au travail par exemple, je te fournis un casque de construction ou des habits. Si c'est raisonnable, c'est correct.»