Dans La Presse, lundi matin, on peut lire l'histoire d'un restaurateur de Montréal qui a vu son permis de restaurant être révoqué par la Régie des alcools, des courses et des jeux qui juge que trop peu de nourriture est servie dans cet établissement pour la quantité de vin qui y est vendu.
Écoutez Paul Arcand en compagnie de Frédéric Laurin, professeur d’économie à l’Université du Québec à Trois-Rivières et Charles Landreville, importateur de vin et restaurateur.
«Je comprends que c’est un monopole au Québec, mais j’essaie de voir depuis des années… Qu’est-ce qui dérange tant? Que je puisse prendre quelques charcuteries en dégustant, en quoi ça dérange? Je veux dire, c’est la liberté du client de choisir, de dire c’est ce que j’ai envie. Partout dans le monde, on peut vivre ça. Mais pas au Québec.»