La Montréalaise Allison Russell propose un deuxième album, délaissant, selon la chroniqueuse Catherine Brisson, le jazz, le blues qui ont caractérisé son premier album, pour se tourner davantage vers le funk, le soul et le disco cette fois.
Écoutez Catherine Brisson aborder avec Paul Arcand le nouvel opus de celle qui a été nommée quatre fois aux Grammys.
«Le moteur de l'album, c'est d'offrir une voix à ceux qui n'en ont pas. Parce qu'elle aime beaucoup parler d'inégalité, d'injustice sociale, raciale également, de diversité, de politique, elle veut utiliser son pouvoir d'artiste pour faire changer les choses et pour la création de l'album, elle s'est entourée l'hiver dernier de quinze femmes âgées de 22 à 62 ans. [...] Je peux vous dire que c'est un album qui sonne... ça n'a juste pas de bon sens!»