Le médicament prescrit pour le traitement du diabète, Ozempic, est actuellement plus difficile à se procurer.
Des difficultés d'approvisionnement ont été signalées pour les doses d'un milligramme, dans certaines régions du Québec.
Le président de l’Association québécoise des pharmaciens propriétaires, Benoit Morin, explique qu'un contrôle est fait pour les autres quantités pour s'assurer que les mêmes patients ne puissent commander toutes les doses.
Cette pénurie fait toutefois en sorte que certains patients devront payer plus cher pour obtenir Ozempic.
«Quelqu'un qui paie de sa poche, qui utilise Ozempic et qui n'est pas éligible à la mention d'exception, ce n'est pas pour un diabète de type 2, mais pour un autre problème de santé ou pour traiter de l'obésité morbide, par exemple, lui ce n'est pas couvert. Il va passer d'à peu près 350$ par mois à autour de 700$ par mois. Il y a des gens qui ne pourront pas se le procurer.»