Un ver sécrétant une toxine paralysante progresse aux États-Unis.
Le ver avait été aperçu en 2018 sur le Mont-Royal par un étudiant du laboratoire où travaille Étienne Normandin, entomologiste.
Risque-t-on d’en voir plus au Québec? Philippe Cantin a posé la question au principal intéressé.
«Ce ver plat à tête de marteau menace des invertébrés (escargots, vers de terre) au niveau du sol et il n'y a pas de prédateur naturel. Quand c'est le cas, ça peut devenir dommageable à long terme.»
Les espèces envahissantes causent pour 26 milliards de dollars de dommages par année pour l'économie mondiale.
À moins de l'ingérer, les humains ne sont pas à risque, mais ces vers sont susceptibles de se multiplier dans les villes.
On écoute Étienne Normandin...