Le chroniqueur économique Pierre-Yves McSween s'attardait lundi matin aux tenants et aboutissants de la prochaine hausse probable qu'annoncera la Banque du Canada.
«Trois catégories sont particulièrement touchées: les emprunteurs à taux variable, ceux qui renouvellent leur prêt hypothécaire et les investisseurs commerciaux.
Le chroniqueur expliquait à Paul Arcand pourquoi les hausses des taux d'intérêt successives n'ont pas eu un effet radical sur les prix du marché immobilier, sur la valeur des maisons.
«Ce n'est pas proportionnel à la hausse des dernières années (...) Il faut se loger quelque part et c'est pour ça que le logement a toujours une valeur. Un logement, ça ne se coupe pas.»
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