Aliments du Québec ne peut garantir que les produits qui portent ses logos proviennent vraiment de la province ou y sont préparés en raison d’un manque de surveillance, selon un rapport du commissaire au développement durable, Paul Lanoie.
«Par exemple, pour avoir le logo Aliments du Québec, 85 pour cent des ingrédients proviennent de la province. Il faut également que les activités de transformation et d’emballage aient lieu au Québec. Donc, ça prend des informations sur les ingrédients, les fournisseurs, la cuisson, la congélation, etc. Pour 28 % des produits accrédités, il manque un des ces critères.»