Pierre-Yves McSween consacrait sa chronique quotidienne au monde très controversé des prêteurs et des taux de financement parfois hors de logique.
Au micro de Paul Arcand, le chroniqueur décrivait ce que les prêteurs avancent et présentent comme du « financement créatif » pour faire passer leurs pilules économiques empoisonnées.
« Ça fait plusieurs années que l’on souligne les pratiques de cette industrie. On a beau changer les ''frais de courtage'' pour frais d’adhésion ou frais de dossier ou frais de renouvellement : c’est de l’intérêt. »