La Société des alcools du Québec veut augmenter son service en ligne, au point de le tripler d’ici 2023.
Mais est-ce que cela vaut le coup pour le consommateur, quand on tient compte d’une foule de facteurs?
Les frais reliés à la livraison, les délais de livraison et les entreprises qui s’acquittent de cette dernière, les quantités achetées, les disponibilités, etc..
Pierre-Yves McSween a soupesé le tout pour arriver à la conclusion que « Coûts/bénéfices, ce n’est pas le plus grand marché de livraison à domicile. »
D’autant plus que l’on vient d’apprendre que les importateurs privés vont pouvoir vendre directement au public à l’aide de leur site transactionnel.
« Ça, c’est un game-changer important. »
On l'écoute...