La réalisatrice québécoise Anaïs Barbeau-Lavalette a présenté en première mondiale son film La déesse des mouches à feu, à la Berlinale 2020, samedi.
L’histoire est inspirée du roman de l'auteure Geneviève Pettersen.
Celle-ci peint la réalité brutale d'une adolescente, Catherine, qui vit dans le Chicoutimi-Nord des années 1990. Elle doit s'adapter au divorce de ses parents. En pleine crise existentielle, elle tente d’oublier ses tourments en consommant de la drogue, notamment.
Le film a été présenté dans la section Generation K +, qui est une section dédiée à la jeunesse.
La réalisatrice a affirmé avoir apprécié la réaction des personnes présentes dans la salle lors de la projection, qui s’est vraiment bien déroulée au dire de notre chroniqueuse culturelle Catherine Beauchamp.
Notons que film marque le retour à l’écran de Caroline Néron, qui joue le rôle de la mère du personnage principal. Elle a été métamorphosée pour les besoins du long métrage.
La déesse des mouches à feu sera présenté dans des salles du Québec cet automne.
Source: Photo: Jannis Wernecke | Des membres de l'équipe de production et certains comédiens, à Berlin. En blanc, Anaïs Barbeau-Lavalette